Dylan Thomas Lettres 1926-1953 et autres textes

Dylan Thomas (1914-1953) est célèbre pour ses poèmes composés, pour la plupart d’entre eux, avant l’âge de vingt ans, pour son recueil de nouvelles intitulé Portrait de l’artiste en jeune chien, pour le conte Noël d’un enfant au pays de Galles mais également pour sa pièce radiophonique Au bois lacté.
Malgré les nombreuses parutions de ses lettres en anglais, il n’existait à ce jour aucune publication conséquente de celles-ci en français. Ce recueil présente donc une sélection soigneusement traduite autant qu’inédite des lettres les plus significatives et marquantes de l’écrivain gallois.

Même si l’épistolier Thomas ne côtoie pas toujours le poète, ces lettres renseignent sur le personnage, à la frontière constante de la « Comédie humaine », mais aussi sur les failles et les doutes perçus par l’homme, dissimulés par l’artiste, qu’il dévoile aux quelques proches que sont Vernon Watkins, Pamela Handsford Jonhson et Caitlin Thomas, son épouse. Elles offrent également des clefs de lectures jusqu’alors inconnues, sur l’interprétation de ses poèmes réputés intraduisibles tant ils se situent à l’encontre de toute métrique.

La fascination que Dylan Thomas connut très tôt pour les mots, l’aura fait remonter jusqu’à la source même du langage et ce voyage, narré dans plusieurs missives, interpelle encore le lecteur du XXIe siècle.

Même si ce volume ne constitue pas une biographie de la vie de Thomas, ces lettres établissent un éclairage sur le parcours fascinant et tumultueux d’un poète à la renommée digne de celle d’une popstar aux États-Unis où il fait l’objet d’un véritable culte.

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Format : 15,5×22
Nombre de pages : 424 pages
ISBN : 978-2-84418-474-0

Année de parution : 2024
25,90 
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Richard Wagner – Lettres du jeune Richard Wagner à son ami Theodor Apel

Quand Richard Wagner envoya sa première lettre de Bohème à son ami Theodor Apel, il n’était âgé que de 19 ans. Le jeune musicien se mit alors à lui confier aussi bien ses peines de cœur que ses rêves d’avenir. Les 41 lettres inédites que contient cet ouvrage retracent en détail les débuts tourmentés de l’artiste en perpétuel manque d’argent, la composition de ses premiers opéras, son activité de chef d’orchestre et sa relation tumultueuse avec la comédienne Minna Planer. Cette correspondance pleine de rires et de pleurs, au cours de laquelle petit à petit l’insouciance de la jeunesse fait place au sérieux de l’existence, offre assurément un regard nouveau sur le compositeur.

Eva Perrier, traductrice de cette correspondance, a replacé les différentes lettres dans leur contexte afin de les rendre aisément accessibles au lecteur.

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Format : 15,5×22
Nombre de pages : 158 pages
ISBN : 978-2-84418-469-6

Année de parution : 2024
22,00 
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Regards croisés

Xavier Grall et Georges Perros, hommes de l’être, tenaillés par un besoin viscéral de l’autre, devaient se croiser.
Bien que tardive, la rencontre chemina vers l’attention amicale, et, malgré leurs différences, ils se sont trouvés. La trop brève correspondance en témoigne, comme ces Regards croisés, une alternance de textes parfois peu connus, tissant une claudication commune et fraternelle. Jamais livre ne vaudra âme humaine, ultime hommage de Xavier à l’ami Georges.
Patiemment, Ronan Nédélec a rassemblé ces Regards croisés. Il est l’auteur d’un recueil de poèmes, L’époque des mots, éd. Du Passavant, 2019. On lui doit la publication de Dans un Pays de lointaine mémoire d’Yves Elléouet, éd. Diabase, 2020. Il se partage entre Douarnenez et les Monts d’Arrée.

Présentation par Ronan NEDELEC

 

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 245 pages
ISBN : 978-2-84418-415-3

Année de parution : 2021

 

 

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Comme je m’ennuie de toi, mon pauvre rat ! (Lettres à sa sœur, 1839-1846)

Caroline Flaubert (1824-1846) fut la confidente, l’alter ego de son illustre aîné de trois ans et peut s’enorgueillir d’avoir été l’une des rares correspondantes de Gustave à lui tenir la dragée haute, à savoir lui répondre sur la même tonalité, dans un style plein de vivacité et de spontanéité, riche en calembours, plaisanteries et rosseries dont leur entourage proche faisait les frais. On ne peut que se laisser séduire, emporter, amuser par cette liberté de ton, dans une langue tour à tour crue et châtiée, et par cette profonde tendresse que rien ne vient jamais altérer. Après la disparition brutale de sa sœur, Flaubert reportera sur sa nièce une part de l’affection débordante qu’il avait pour sa sœur, dont le souvenir ne le quittera jamais. Comme en témoigne le dossier gris, sur lequel il a écrit à la main « Lettres de ma sœur », dans lequel il conservera sa vie durant jusqu’au moindre billet que lui avait adressé Caroline, comme autant de talismans de cette amitié sororale qui, en l’occurrence, était l’un des autres noms de l’amour.

Édition établie, préfacée et annotée par Joseph Peyronnet

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 256 pages
ISBN : 978-2-84418-336-1

Année de parution : 2017

17,00 
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Correspondance

Les Lettres de Maupassant à Zola, c’est toute l’aventure des soirées de Médan, la vision du naturalisme par Maupassant et Zola, les débuts de Maupassant, Boule de suif … accompagnées de deux discours prononcé par Zola sur Maupassant.
Ces correspondances sont inédites et s’inscrivent dans la ligne des correspondances déjà parues aux Editions La Part Commune, notamment entre Gustave Flaubert et Guy de Maupassant.
Sur le même thème est également paru un ouvrage de Guy de Maupassant sur Gustave Flaubert.
Et les correspondances entre Zola et Flaubert (inédites) sont en projet pour l’année prochaine …

 

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 200 pages
ISBN : 978-2-84418-272-2

 

Année de parution : 2013

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Correspondance

C’est lors d’un des célèbres dîners littéraires chez Magny, auxquels participaient les frères Goncourt, Sainte-Beuve, Théophile Gautier, que Gustave Flaubert rencontre George Sand. Une formidable amitié, sans doute unique par la verdeur et la vigueur de leurs nombreux échanges épistolaires, s’établit entre l’auteur de Consuelo et celui de Madame Bovary. Cette correspondance, considérée comme la plus belle et la plus intense de Flaubert, sans doute aussi l’une des plus extraordinaires qui soient, était depuis longtemps introuvable. Cette réédition sous une présentation nouvelle se propose de faire (re)découvrir au lecteur deux monstres de la littérature française, qui avaient l’un pour l’autre une estime et une tendresse sans demi-mesure. Ils s’y parlent de tout, des amis écrivains, de littérature, des affres de la création, des êtres qui leur sont chers, de politique. L’humour mordant y côtoie les confidences les plus émues. On a l’impression à lire ces lettres, de surprendre deux vieux amis discutant à cœur ouvert au coin de l’âtre.

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Format : 12×17
Nombre de pages : 928 pages
ISBN : 978-2-84418-218-0

Année de parution : 2011

28,00 
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Correspondance (1873 – 1880)

Dans le présent volume, pour la première fois est réuni l’ensemble des textes que Guy de Maupassant a consacré ante et post mortem à son cher maître et ami, Gustave Flaubert. L’amitié qui unit les deux hommes et qui remonte à la prime enfance du futur auteur de Boule de Suif est un cas presque unique de complicité humaine et littéraire. Ces deux tempéraments étaient animés par la même passion ontologique de l’écriture et de la littérature, et par la même férocité comique. À travers ces articles, Maupassant dessine un remarquable portrait in vivo de Flaubert, dont il fut peut-être le premier à comprendre le génie dévastateur de Bouvard et Pécuchet. Et c’est précisément ce Flaubert-là, ce pourfendeur implacable de la bêtise mais aussi un homme sensible et extrêmement fidèle aux siens, que nous donne à voir Maupassant.


Format : 17 x 12
Nombre de pages : 378 pages
ISBN : 978-2-84418-162-6

 

Année de parution : 2007

18,00 
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Correspondance (1927 – 1969) (Jean Grenier – Jean Guéhenno)

Jean Grenier et Jean Guéhenno font connaissance chez Daniel Halévy en 1927. Avec leurs attaches bretonnes, leur humanisme profond et leur désir de s’exprimer par l’écriture, ces deux professeurs agrégés sympathisent tout de suite. Le futur maître à penser d’Albert Camus mise surtout sur les valeurs éternelles, tandis que l’auteur de Caliban parle vient de signer avec leur ami commun Louis Guilloux et 158 autres la pétition d’Europe contre une loi qui abroge toute indépendance intellectuelle et toute liberté d’opinion. Grenier fera partie de l’équipe de Paulhan à la Nrf mais soutiendra l’action de Guéhenno devenu directeur d’Europe. Guéhenno, délogé de son poste en 1936, saluera le courage de Grenier qui dénonce l’emprise des « orthodoxies ». Au centre de leur réflexion à tous deux se trouve l’homme – avec les concepts qui s’y rattachent : l’humain, l’humanisme, l’humanité, les humanités. Ce qui ressort de cette belle et émouvante correspondance est justement une démonstration (plutôt qu’une définition) de l’humain, au cœur d’un siècle où cette valeur ne cesse d’être mise en question.

 

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 256 pages
ISBN : 978-2-84418-236-4

 

Année de parution : 2011

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Correspondance (1927-1967) Les Paradoxes d’une amitié

Ces deux hommes, Jean Guéhenno et Louis Guilloux – l’essayiste et le romancier – que bien des éléments rapprochent à différents endroits de cette correspondance ont, en fait, de nombreuses divergences, qui tiennent en partie à l’essence même de leurs talents respectifs et à leurs buts : ambition sociale, pour le premier et ambition littéraire, pour le second. Ce que nous dit leur correspondance, empreinte d’une véritable amitié faite de connivence et confiance, c’est le caractère singulier des tempéraments. Homme de revue, Guéhenno est régulier, ponctuel. Plongé dans l’actualité, il ne comprend pas toujours Guilloux qui, lui, suit son actualité romanesque. Écrivain avant tout, il accorde à son œuvre la priorité absolue. De là, son « prodigieux égoïsme » lors de la rédaction de ses œuvres. Guéhenno est d’abord l’homme d’un combat qui l’occupe son existence durant : celui de la dignité de l’homme par l’éducation. Leur forme de combat est différente et leur amitié en a souffert. « Compagnons » ou « frères d’échoppe », n’ont-ils pas pourtant, par des chemins détournés, proclamé, tous deux, la grandeur des humbles ?

Format : 12 x 17
Nombre de pages :
 736 pages
ISBN :
 978-2-84418-154-1

Année de parution : 2011

21,00 
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Correspondance (1950 – 1971)

De toutes les correspondances de Georges Perros que nous connaissons, celle qu’il entretint vingt ans durant avec Jean Grenier – et dont toutes les autres, directement ou indirectement, procèdent ou découlent, puisque c’est par son truchement qu’il est entré en contact avec la N.R.F. et le monde littéraire qui gravite autour – est de loin la plus nouée, la plus complexe, la plus passionnelle. En effet, on n’est ni dans le registre de la complicité fraternelle qui l’unit à Michel Butor, Jean Roudaut ou Lorand Gaspar, ni dans le rôle d’aîné involontaire qu’il joue auprès du jeune Maxime Caron, ni dans la réserve affectueuse perceptible dans ses échanges avec Brice Parain, Carl Gustaf Bjurström ou Bernard Noël, ni dans ce rapport d’intelligence matoise qui le lie à Jean Paulhan.
Cette longue correspondance durera jusqu’à la mort de Grenier en 1971, avec des phases climatériques, des silences, des « chagrins d’amitié » comme il y a des chagrins d’amour.

 

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 224 pages
ISBN : 978-2-84418-108-4

 

Année de parution : 2007

18,00 
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Correspondance (1966 – 1977)

«Touchés par je ne sais quelle horreur à vivre qui vous prend sans prévenir » écrit Georges Perros à Vera Feyder en octobre 1970, d’où l’intuition intime, dès leur première rencontre en 1966, d’une complicité qui n’aura besoin pour s’affirmer que d’avoir reconnu au premier signe ce niveau d’être, auquel les mots – et les silences aussi bien – tissent entre eux une connivence intemporelle, dont la preuve écrite tient en ces quelques lettres où l’auteur de « Papiers collés » et l’auteure de « La derelitta » se retrouvent dans l’infini d’une solitude choisie, envers et contre tous les artifices du paraître, (ils ont tous deux été comédiens au théâtre) qu’impose le monde à ceux qui ont tenté, contre la dictature et l’inanité de ses lois marchandes, de s’y faire un « non » par la grâce salvatrice de l’écriture. Dont acte.

 

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 80 pages
ISBN : 978-2-84418-107-7

 

 

Année de parution : 2007

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Correspondance (1966-1978)

Cette correspondance croisée de deux poètes est le dialogue fraternel de deux solitaires qui, dans leurs déserts respectifs, ont su se trouver et se reconnaître.

 

Format : 12 x 17
Nombre de pages : 256 pages
ISBN : 978-2-84418-011-7

 

Année de parution : 2001

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J’écris comme ça, au petit bonheur – Correspondance Générale Tome II (1847-1854)

Si à plusieurs reprises, Thoreau déclare être un « piètre épistolier », les lettres réunies dans ce deuxième volume de sa correspondance générale viennent apporter un formidable contredit à cette affirmation. La période qui va de 1847 à 1854, autrement dit de trente à trente-sept ans, est une période charnière. Elle marque, après le premier volume de cette correspondance qui pourrait être celui de la maturation, l’épanouissement de l’œuvre et de la vie de Thoreau, avant son accomplissement, ou plutôt sa plénitude, dans les huit dernières années de sa vie que couvrira le troisième et dernier volume de la correspondance. L’extraordinaire diversité de ses correspondants témoigne de la place qu’a conquise de haute lutte Thoreau dans cette Nouvelle-Angleterre qui reste l’Amérique originelle. Et l’entrecroisement de ces échanges épistolaires vient dessiner également la topographie d’une identité américaine en pleine formation.

Traduction : Thierry Gillyboeuf

 

Format : 14×19
Nombre de pages : 494 pages
ISBN : 978-2-84418-381-1

Année de parution : 2018

22,00 
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Je m’offre comme un correspondant encore plus rare – Tome III (1855-1862)

Correspondance générale de Thoreau en trois volumes. Le 3e et dernier volume couvre 7 ans, de 1855 à 1862.

Traduction : Thierry Gillyboeuf

L’établissement de cette correspondance repose sur l’édition américaine publiée en 1906 et épuisée depuis, à laquelle viennent s’ajouter des lettres retrouvées, mentionnées qui étoffent sensiblement l’ouvrage de départ. Elle est le fruit de longues recherches bibliographiques entreprises par Thierry Gillyboeuf, auteur de la seule biographie française de Henry David Thoreau parue chez Fayard en 2012 et qui s’est
lancé, en parallèle, dans la traduction de l’intégralité du Journal dont quatre volumes ont d’ores et déjà paru chez Finitude, le cinquième étant prévu pour l’automne 2019.
Conçue ainsi, elle propose aux lecteurs français l’édition la plus complète, à ce jour, de la correspondance de Henry David Thoreau. Cette publication allie la rigueur d’une édition qui vise à l’exhaustivité, à un texte littéraire vivant et captivant. Spécialistes et curieux y trouveront le même bonheur de lecture.

Format : 14×19
Nombre de pages : 663 pages
ISBN : 978-2-84418-384-2

Année de parution : 2020

 

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Je vous inonderai de lettres – Correspondance Générale Tome I (1834-1846)

Première partie de la correspondance intégrale inédite du philosophe et poète américain regroupant environ 800 lettres. Portrait de jeunesse dévoilant son humour caustique, ses atermoiements, ses amitiés et ses amours.

Traduction : Thierry Gillyboeuf

 

Format : 14×19

Nombre de pages : 450 pages

ISBN : 978-2-84418-362-0

Année de parution : 2018

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Lettres à C. G. Bjurström (1958-1976)

Georges Perros (1923-1978) ne fût publié que grâce à Jean Paulhan – c’est ce qu’il confie dans l’une des quelques deux cents lettres adressées à C. G. Bjurström, traducteur du suédois, notamment de Strindberg, avec qui il avait travaillé en collaboration. Perros a affirmé lui-même quelque part que tout ce qu’il écrivait était « à sauver ». Paradoxalement, ce n’était pas par prétention, mais au contraire par honnêteté et modestie. Il voulait dire par là, me semble-t-il, qu’il n’avait pas de langage de luxe, qu’il était toujours dans l’urgence et dans « le jour le jour intégral ». « C’est bien d’écrire, ou de publier, tous les dix ans. Mais ça manque un peu de fraternité. Et comme nous en avons plutôt besoin, c’est tout une partie de la meilleure littérature qui est en panne ». « L’art, oui, qu’est-ce que l’art ? Un déchiffrage, puis une gloire – celle de Dieu – puis une contestation passionnée (…).

 

Format : 14 x 22
Nombre de pages : 192 pages
ISBN : 978-2-84418-003-2

 

Année de parution : 1998

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