« Avec une belle santé, malgré sa détresse, avec humour et cocasserie en dépit des difficultés, avec des nostalgies à la Perec (« Je me souviens ») et une gouaille à la Zazie, Zoé Valdés raconte le quotidien dans la dernière réserve du socialisme, cette sorte de parc à slogans de plus en plus décrépit. Une fois de plus, après Soljenitsyne et Kundera, un roman dénonce mieux que tous les essais : le simple récit des jours vaut tous les anathèmes. »
Erik ORSENNA. Le Monde, 31 mars 1995
« Zoé Valdés est une importante écrivaine cubaine, qui vit exilée en France. Elle est très connue dans la communauté de langue espagnole par la qualité de son travail et pour sa lutte courageuse contre la dictature cubaine, en particulier, et pour ses critiques à l’encontre de tous les régimes autoritaires, en général. Ainsi que pour sa défense permanente des droits humains, et des journalistes et écrivains persécutés dans le monde entier. »
Mario VARGAS LLOSA
« Tous les écrivains qui lisent Chateaubriand se sentent tentés d’écrire leur Mémoires d’outre-tombe. Zoé Valdés n’a pas craint de le faire. Durant sa vie, Zoé Valdés a écrit beaucoup de livres, mais celui-ci fut écrit pour sa propre vie. »
Jean-François FOGEL